Le rôle des policiers selon Gbagbo Laurent

Vous êtes des policiers, vous n’êtes pas des juges... Moi, mon père était militaire et après policier, donc je connais le rôle des policiers…Vos ennemis, ce sont tous ceux qui sont contre la République.Tous ceux qui veulent installer la chienlit, le désordre. Tous ceux qui veulent troubler les élections. Battez-vous contre le désordre, contre la chienlit… Ne réfléchissez pas, ce sont les juges qui réfléchissent. Vous êtes des combattants du respect de l’ordre public. S’il y a des dégâts, les juges rétabliront tout. La République se construit avec les Forces de l’ordre, avec les forces de combat… Moi, j’ai les bras de la République. Quand le moment arrive pour que je lance mes bras, je les lance.
Matez tous ceux qui sèment le désordre et après on réfléchira … Matez, matez, tous ceux qui sont contre la République... Moi, mon père était militaire et après policier, donc je connais le rôle des policiers…Votre rôle n’est pas de réfléchir comme les juges. Ce sont les commissaires qui réfléchissent à votre place… Vous, votre rôle, c’est de mater, de mater…Le policier ne doit pas réfléchir… Il doit taper et s’il y a des erreurs, s’il y a des problèmes nous allons arranger…

Gbagbo Laurent, Chef de l'Etat ivoirien, à l'occasion de l'installation de la CRS 3 à Divo le vendredi 27 Août 2010


vendredi 12 février 2010

Mandela : un homme exceptionnel


Il y'a 20 ans, les premiers pas d'homme libre de Mandela, libéré par Frédéric Déclerc le 11 février 1990. Elu en 1994 premier Premier noir de l'Afrique du Sud, il décida, au terme d'un seul mandat de se retirer du pouvoir et de la vie politique pour donner une chance à la nouvelle démocratie de son pays arc-en-ciel, alors sa popularité était à son sommet. Bel exemple d'humilité, de sagesse et d'amour du peuple. Que le Tout Puissant donne encore longue vie à ce model vivant pour tous les africains et le monde entier.

Au moment de cet hommage universel rendu à Mandiba, Blaise compaoré, le faciltateur des conflits de la CDEAO, cherche à modifier la constitution du Burkina Fasso pour s'éterniser au pouvoir. Pauvre Afrique.

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